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«On dit parfois des enfants très vilains qu'ils doivent avoir été élevés par des loups. C'était le cas des Incorrigibles enfants.» Au Domaine Ashton, les Incorrigibles enfants n'ont rien d'ordinaire : l'un hurle comme un loup, l'autre mord, le troisième chasse les écureuils. Heureusement mademoiselle Penelope Lumley, jeune gouvernante, accepte avec enthousiasme le défi que lui promet son nouveau poste. Penelope sera-t-elle capable de civiliser les Incorrigibles à temps pour le bal de Noël de Lady Constance ?

Nouvelle enquête dans l'Aveyron. L détective Combes et son épouse se trouvent plongés au coeur d'une ténébreuse affaire de famille qui mêle suicide, incendie, chantage...

Écrit en 4ème de couverture: " Avec le temps, j'ai appris à discrètement et poliment raccourcir ces visites. Je fais maintenant partie de ces gens qui peuvent déclarer " moi, mes parents, c'est quatre jours maximum, après je sature." Quelque chose en moi le regrette et en cherche la raison. [...] Je ne sais plus si nous réussirons à faire famille, envers et contre tout, et à être là, un jour, mon frère et moi, pour Claire. Je m'attendais peut-être à ce que ma place de petit dernier m'offre un droit à la légèreté et l'insouciance."

Victoria Dawson a toujours eu le sentiment d'être une étrangère parmi les siens : ses parents et sa soeur cadette sont aussi bruns et sveltes qu'elle est blonde et ronde. Depuis sa naissance, la jeune femme subit les moqueries de son père et les reproches de sa mère au sujet de ses formes généreuses. A contrecoeur, Victoria comprend qu'il lui faut s'éloigner des siens pour trouver le bonheur. Elle s'installe à New York et devient professeur dans une prestigieuse école privée. Ses parents la considèrent toujours comme le vilain petit canard, mais grâce à de bonnes rencontres, une en particulier, Victoria apprendra enfin à s'accepter telle qu'elle est.

Louis, seize ans, n'est pas rentré à la maison ce soir-là. Commence alors pour Anne, sa mère, la longue attente de son retour. Au lendemain de la Seconde Guerre mondiale, dans ce petit village de Bretagne, Anne voit sa vie dévorée par l'abscence et chaque jour, aux bords de la folie, aux limites de la douleur, elle attend le bateau qui lui ramènera son fils. Pour survivre, elle lui écrit la fête insensée qu'elle offrira pour son retour...

Sa mère étant partie en maison de retraite, il faut vider la maison et vendre la maison de son enfance que le narrateur ne veut pas garder. En ruine et sans homme depuis bien longtemps, cette demeure s'abîme, se délabre et se déglingue. Déplacer, trier, emplir des cartons, aller à la déchetterie, nettoyer, expertiser... C'est le récit de cette épreuve, la maîtriser pour en faire quelque chose au lieu de la subir, entre désir d'inventaire et tentation de table rase. Chaque famille a ses secrets et l'on devine ici que "la maison du père" n'a pas toujours été un havre de paix et de bonheur. Mais le narrateur à envie d'effacer l'ardoise, d'oublier les ratés, de pardonner et de fuir. Aussi, que reste-t-il d'une maison une fois qu'elle a été désertée par ses habitants? On emporte avec soi quelques objets, des lettres, des photos, une odeur....

Qui est cette femme, Pourquoi m'appelle-t-elle Hailey? Je m'appelle Livvy, j'ai 3 ans. Par une belle journée d'été, au bord de la mer, Livvy, 3 ans, disparaît. A-t-elle été emportée par la mer? A-t-elle été enlevée? Les semaines passent: aucune trace de la fillette. La police conclut à la noyade et les recherches s'arrêtent. Sa mère Maggie abandonne tout espoir. Jennifer a perdu sa petite fille Haley. pourtant, la jeune femme est persuadée qu'elle vient de la retrouver, là, sur la plage. Mais Haley n'est plus elle-même et agace Jennifer par son comportement. La jeune mère compte bien la faire plier. Pour commencer, elle l'emmène dans un cottage isolé et la bourre de sédatifs afin de la calmer... Qui pourra sauver la petite fille?...

Ficelle n'est pas contente que sa grande soeur, Brindille, soit rentrée à l'école, jusqu'au jour où elle apprend que leur classe doit sortir pêcher. Décidée à ne pas rater cela, elle prend la place de sa soeur en se déguisant.

Écrit en 4ème de couverture:" Devenir instituteur, c'était le rêve de nombreux enfants dans la France de l'immédiat après-guerre. C'était l'âge d'or de l'école de la République, l'école d'antan, notre école aux odeurs de craie, de bois et d'encre violette, dont les maîtres exemplaires et dévoués étaient respectés de tous. Elle symbolisait la réussite et l'espoir. Christian Signol nous fait revivre l'histoire à travers le destin d'une institutrice des années cinquante, qui devra affronter dans les villages du Lot l'hostilité tout à la fois du maire, du curé et des habitants qui ont besoin de leurs enfants dans les fermes. Elle y rencontrera l'amour de sa vie avec un autre maître issu d'un milieu totalement différents mais aussi passionné jusqu'à ce que, de réforme en réforme, ils deviennent par décret professeur des écoles et ne se reconnaissent plus dans leur nouveau statut. Christian Signol poursuit avec émotion et vérité le grand roman de nos familles, notre roman, comme celui d'un pays d'où l'on ne s'échappe jamais tout à fait.

L'histoire se déroule en Amazonie. Un enfant qui ne communique que par la colère et les cris rencontre un jour une petite fille. Il fait peur à son singe qui s'enfuit et elle se met à pleurer. Elle lui demande d'aller à la recherche de l'animal. Pour cela, le petit garçon va devoir changer de comportement et apprendre la douceur.